Dans l’optique d’approfondir la compréhension du phénomène de l’invisibilité sociale dans toute la potentialité de sa diversité, des publics comme des difficultés auxquels il renvoie, l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale (ONPES) a confié au CRÉDOC la réalisation d’une étude quantitative qui, loin de cibler des catégories de population préconstruites, identifiées par la recherche comme particulièrement exposées à l’invisibilité sociale, porte sur un échantillon représentatif de la population française.
[fusion_builder_container hundred_percent= »yes » overflow= »visible »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »no » center_content= »no » min_height= »none »][…] Le constat probablement le plus marquant de l’investigation est l’ampleur du sentiment d’invisibilité sociale. La moitié des Français estiment être confrontés personnellement « très souvent » ou « assez souvent » à des difficultés invisibles, qui ne seraient pas considérées par les pouvoirs publics ou les médias.
Le lien vers l’étude : http://www.onpes.gouv.fr/IMG/pdf/ONPES_CREDOC_rapport_invisibilite_sociale_091115.pdf[/fusion_builder_column][/fusion_builder_row][/fusion_builder_container]
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