UN AN DÉJÀ ET QUEL BILAN !
Il y a un an, nous ouvrions une ère nouvelle pour les rivières sauvages. Une nouvelle gouvernance, un réseau étoffé de 21 rivières, une volonté de construire une seconde étape cruciale pour l’histoire de notre programme. Et la création de l’association du réseau des Rivières Sauvages. C’est l’occasion de faire le bilan de cette année alors que nous venons de réunir le Réseau à Bourg en Bresse.
Que de chemin parcouru en près de 365 jours !
Nous voulions proposer au réseau, des outils pour mieux appréhender le label, en termes de stratégie, de communication, d’approches terrain innovantes. Nous voulions créer les conditions d’un développement harmonieux de notre label, nous voulions nous rapprocher de nos publics : les mécènes potentiels, les partenaires et les élus.
Des objectifs atteints !
Nous avions pour objectif de fédérer nos bassins versants gestionnaires et l’ensemble des porteurs du label, d’augmenter la notoriété et la réputation de notre programme et surtout de devenir une plateforme de propositions pour la préservation des derniers cours d’eau.
Nous avons renforcé nos équipes, élaboré et diffusé nos outils en interne, participé à quatre salons dédiés, (en Bretagne, en Chartreuse, à St Etienne et en Belgique ; conçu des présentations pour le grand public, imaginé et créé des panneaux d’interprétation de rivières labellisées ; lancé les campagnes de mécénat territorial (Valserine, Guiers Mort, Grande Leyre et bientôt l’Artoise). La Chartreuse, Biocoop Valserine, Prophil, Noé sont venus grossir le rang de nos bienfaiteurs.
Sous la houlette de Denis Caudron, coordinateur national, les partenariats se sont renforcés et notamment avec La fondation Nature et découvertes, Boralex, la fondation CERA.
De nouveaux outils et une présence médiatique forte
Nous avons également créé de nouveaux outils, tels ces récits numériques qui seront présentés en avant-première lors de la réunion du Réseau et nous lançons notre plaidoyer pour la préservation « nouvelle manière » puisque cet acronyme signifie ici « Responsabilité sociale et environnementale ».
Le tout, sans jamais cesser d’être présents dans les médias et les réseaux sociaux avec une quarantaine d’articles et de reportages audiovisuels depuis janvier 2019.
Certes, il reste encore beaucoup à faire mais savourons cette année de transition.
Un bilan dont nous sommes fiers
La fierté d’avoir poursuivi notre programme de labellisation avec 5 nouvelles rivières récompensées, de participer avec ERN, notre partenaire historique, au programme RFIM auprès des écoles et des collèges, de notre participation à l’étude des services écosystémiques rendus par les rivières sauvages engagée avec le CEREMA, ERN et l’école Centrale.
Cela ne s’est pas fait sans une équipe à la solidarité sans failles et que je souhaite remercier ici. Le programme Rivières sauvages est ouvert, participatif, citoyen mais il repose sur le travail époustouflant de ses équipes et notamment de son coordinateur, Denis Caudron et de sa chargée de mission, Mélanie Taquet.
Demain, il nous faudra convaincre encore les nouvelles équipes municipales, les présidents·es d’agglomérations de communes, les syndicats de bassin, les pouvoirs publics que la préservation a un coût infiniment plus faible que la restauration et contribue ainsi à préserver les finances publiques.
Que vive le Réseau des rivières sauvages !
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Marie-Pierre Medouga
Présidente du Réseau des Rivières Sauvages
Déléguée à la communication et au Mécénat