Depuis 2013, la faillite[1] bancaire fait désormais partie des risques majeurs pour les ONG et les fondations. Elles appartiennent en effet souvent à la catégorie des épargnants de plus de 100 000 €.
Une situation qui pourrait toucher potentiellement les placements des ONG et les fondations.
Aussi est -il indispensable de protéger ces fonds pérennes contre le risque de banqueroute. C’est l’objectif de la solution exclusive de la finance Humaniste : une cartographie des risques et un fonds de placements garanti.
[1] le MRU, Mécanisme de Résolution Unique pour protéger le petit épargnant a mis en vigueur le principe où l’épargnant de plus de 100 000 € en compte interviendra à hauteur de 8%[1] de la faillite bancaire, après les actionnaires et les créanciers de la banque, mais avant l’intervention de l’Etat.