Nouveau logo et nouvelles ambitions pour l’Institut du Psychoportrait Symbolique, l’entité de formation de l’Agence MP & C : il va animer la session de travail de 25 entrepreneures collaboratives, jeudi 8 mars 2018 entre 12h10 & 15h dans le CoworkingBus. Retour sur un partenariat entre le Salon du Coworking, fondé par Mériem Belazouz et l’Institut du Psychoportrait Symbolique (IPS) qui se concrétise au profit des femmes collaboratives !

En septembre 2017, Meriem Belazouz m’a contactée pour évoquer les nouvelles formes de travail, le nomadisme et le télétravail. Elle souhaitait que je mette mon expertise sur ces questions (j’ai été salariée nomade dès 1989) au service des jeunes entrepreneures qu’elle avait rassemblées sous sa bannière dans le Salon du Coworking.  C’était le deuxième édition du salon et cette jeune femme dynamique m’a tout de suite convaincue de lui prêter main forte et devenir partenaire.

 

A l’affût des mutations sociétales et organisationnelles

Coopanamienne associée, entrepreneure (aujourd’hui salariée)  depuis plus de 25 ans, au fait des nouvelles formes de travail, j’étais en train de développer une offre de formations pour les entrepreneures et même d’intrapreneuriat dans le cadre de mes activités de consultant coach formatrice. C’est d’ailleurs la raison de mon arrivée au sein de Coopaname en 2013 : créer un institut de formation qui puisse favoriser le développement de ma méthode déposée le Psychoportrait Symbolique, accélérer la recherche de nouveaux outils et commercialiser  via Coopaname une offre auprès des entreprises et des associations.

Du lion au papillon, la lente transformation des entreprises

Passionnée par les mutations organisationnelles & fonctionnelles des entreprises, j’ai toujours eu en effet un regard transversal sur ces questions.  J’ai pu, au cours de mes séances de Psychoportrait Symbolique auprès des PME & des TPE, remarquer un changement notable des mentalités. La personnification de l’entreprise a changé.  Symbolisée par un lion ou un éléphant voire un buffle dans les années 90 et majoritairement masculine, l’entreprise est devenue plus mobile, réactive, agile et il n’est pas rare qu’elle soit évoquée sous la forme d’un papillon. Lire ici 

C’est tout donc naturellement que je suis devenue partenaire du Salon du Coworking, d’autant plus que je venais de nouer un partenariat avec un espace de Coworking sur l’Ile de Ré,  Le Ré Coworking Business Club, fondé par Emmanuelle Amelin et Mireille Bonavéro pour y accueillir les sessions de formations et les ateliers.

 « Créer une communauté d’hommes et de femmes entreprenants, acteurs de leur propre réussite. Voilà ce que nous souhaitions mettre en place ici sur l’Ile de Ré « explique Emmanuelle Amelin

C’est pourquoi elle a accepté de participer à la seconde édition du salon en partenariat avec l’Institut du Psychopportrait Symbolique.  Toutes nos formations peuvent se dérouler dans les locaux de cet élégant espace de Coworking située à Sainte-Marie la » capitale » de l’ile de Ré. Lire à ce propos

 

 

 

 

 

 

 

Le Coworking, un secteur en plein expansion

Le Coworking pose en effet  la question du rapport au travail : télétravail, nomadisme, intrapreneuriat, tous ces nouveaux termes viennent confronter nos croyances et nos valeurs.

Au delà de la simple notion d’espaces de travail, il s’agit d’une autre manière de penser le travail et l’entrepreunariat.  L’économie collaborative est en pleine expansion et c’est le domaine des jeunes créateurs notamment issus de la diversité et des femmes. Elles créent des start-up, inventent des applications, des plateformes, des robots et très souvent sont en recherche de fonds, de soutiens, de mentoring, de suivis et d’une prise de risque minimale. Les freins et les blocages sont nombreux car la société française est encore discriminante. Pourtant ce sont les cheffes d’entreprise de demain : créatrices de nouvelles valeurs et d’emplois. Par ailleurs, elles sont confrontées à des difficultés particulières : les gardes d’enfants, les prêts bancaires moins faciles et les rémunérations des prestations moins élevées pour leurs confrères masculins.

Meriem Belazouz le sait fort bien elle qui a créé son activité dans les années 2000.  « Dès 2007, je créais déjà des plateforme collaboratives et des réseaux mais nous n’avions à l’époque ni le statut juridique, ni les outils financiers qui existent aujourd’hui pour nous développer. La solution était de co-créer et de coopérer » et la situation était encore plus difficile pour les femmes.

C’est la raison d’être du Salon du Coworking : permettre aux créateurs et aux jeunes ou moins jeunes entrepreneurs·res de se rencontrer, d’échanger, de réseauter et de trouver des solutions pour pérenniser leur activité. et donner un peu d’air aux femmes qui ont encore besoin de se donner confiance pour sauter le pas !

le 8 mars ou Womens’Day était l’occasion rêvée pour les mettre à l’honneur. Car il est vrai que l’on est passé aujourd’hui de la compétition à la coopération dans le monde du travail. Or, ces valeurs de coopération, de réseau, de co-création, de partage sont des valeurs dites féminines. Il faut donc que les femmes puissent prendre le lead  !

La télévision du secteur : Coworking Channel 

Pour ce faire, il leur faut des outils facilitateurs. C’est le cas des  tiers-lieux tels que les espaces de Coworking, des instituts de formations, des applications et des plateformes collaboratives. C’est  en effet toute une nouvelle économie qui se met en place. Tous ces acteurs se retrouveront sur Coworking Channel, la toute nouvelle chaîne créée par Mériem Belazouz et son équipe.

A l’instar du Salon du Coworking, la chaîne a été conçue pour rassembler tous les acteurs de l’économie collaborative afin d’en partager et diffuser les valeurs. Des témoignages, une veille du secteur, des présentations de partenaires et des événements  émailleront les programmes de la TV. l’inscription est simple et gratuite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour retrouver les informations relatives au Coworking Bus : cliquez ici

Des informations sur le Ré Coworing Business Club : ici

Le Communiqué de l’Institut du Psychoportrait Symbolique (IPS) : ici