La finance Humaniste, membre qualifié de Finansol

par | 7 Nov 2016

 

Sophie de Brosses, présidente de la finance humaniste

L’épargne solidaire au cœur de La finance HUMANISTE SAS

Sophie de Brosses, membre de Finansol en tant que personnalité qualifiée

 

 

Depuis sa création, La finance HUMANISTE SAS © propose des produits éthiques et responsables, des placements solidaires et promeut des actions de financements qui mettent l’humain au cœur de préoccupations. C’est donc tout naturellement qu’elle a souhaité faire partie de l’association Finansol. Membre depuis fin juillet 2016, elle participe pleinement à la semaine de l’épargne solidaire qui démarre ce 3 novembre.

 

 

La semaine de l’épargne solidaire : donnez un visage à votre épargne

Chaque année au mois de novembre, Finansol renouvelle son grand rendez-vous en organisant la Semaine de la finance solidaire. Véritable opération de sensibilisation, celle-ci veut faire prendre conscience à chacun qu’il est possible de donner du sens à son épargne. Si vous aussi, vous souhaitez vous mobiliser pour une autre finance, celle qui crée des emplois, du logement, des activités respectueuses de l’environnement, celle qui favorise l’entrepreneuriat dans les pays en développement.  Pour visiter le site, cliquez ici

La finance HUMANISTE SAS © s’est dotée d’une charte de déontologie pour préciser sa mission : conjuguer la rentabilité financière et le bénéfice social dans le conseil en lui-même et les solutions d’investissement, dont l’essence doit in fine concourir à l’intérêt général. Il est prioritaire de placer ces valeurs au cœur du dispositif patrimonial, de respecter les convictions des personnes morales ou physiques dans leurs orientations de placement, de sélectionner les partenaires à la fois pour leur professionnalisme mais aussi pour leur engagement au sein de la société, et de s’assurer que les fonds des OSBL[fusion_builder_container hundred_percent= »yes » overflow= »visible »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »no » center_content= »no » min_height= »none »][1] partenaires sont gérés dans l’intérêt de la mission sociale et le respect des donateurs.

Dans le cadre de l’épargne solidaire, l’objectif c’est de mieux faire connaître les produits. Par exemple : les entreprises solidaires dans lesquelles les particuliers peuvent investir tout en diminuant leur fiscalité.  Ou encore, les fonds de partage[2] qui permettent de redistribuer une partie des bénéfices à une cause : la protection de l’enfance, la recherche contre la maladie, la lutte contre l’exclusion, l’aide au développement ou l’environnement.

La solidarité et l’éthique au cœur des actions de La finance HUMANISTE SAS

Pour Sophie de Brosses, la finance humaniste n’est pas un oxymore. Il faut en effet donner du sens à l’épargne et à l’argent pour une société constructive. L’argent n’est pas une fin en soi.

C’est pourquoi elle consacre son activité de conseil en investissement financier, à rechercher, tant pour les organisations à but non lucratif, que pour les particuliers, des solutions performantes qui permettent de sécuriser les missions sociales et de les développer sur le long terme.

Pour souligner cette convergence d’intérêts entre les épargnants particuliers et le monde associatif, Sophie de Brosses organise aussi des conférences sur des thèmes fédérateurs, où peuvent intervenir des entreprises sociales et des fondations. Le thème de la dernière en date : les solutions pour que les associations et les fondations augmentent efficacement leurs ressources grâce aux dons (IR/ISF) et aux transmissions, et pour que les redevables de l’ISF puissent réduire la pression fiscale.

« Nous espérons que notre participation à Finansol permettra aux épargnants, donateurs ou contribuables de prendre des décisions éclairées, reposant sur des avis d’experts indépendants aux convictions profondes. » Explique Sophie de Brosses.

A propos de Sophie de Brosses

Après un parcours sans faille chez Rank Xerox, Sophie de Brosses a eu différentes fonctions de direction (administrateur, directeur du développement, Secrétaire Générale) dans différentes maisons d’éditions pour ensuite se tourner résolument vers le secteur financier depuis 2003 : optimisation fiscale, gestion patrimoniale, investissements financiers. Elle y a également occupé des postes de terrain, de management et de direction de fonds.

Elle est aujourd’hui présidente de LA finance HUMANISTE SAS.

Experte de la gestion patrimoniale et des investissements, elle écrit dans différents magazines spécialisés et participe à des conférences ou des émissions dédiées.

 

 

www.lafinancehumaniste.com – compte Twitter @la Financehuman

 

[1] Organisme sans but lucratif

[2] L’épargne de partage

L’épargne de partage, aussi appelée « produit de partage », consiste, pour un épargnant, à faire don de tout ou partie des revenus de son placement à une œuvre d’intérêt général ayant un caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, culturel ou environnemental. L’épargne de partage est apparue en France dès 1983 avec la création, par le Crédit Coopératif, d’un Fonds commun de placement « Faim et développement ». Le principe de ce placement, toujours existant, est de verser une partie (50 ou 75 %) des bénéfices réalisés dans ce fonds au Comité catholique contre la faim et pour le développement. Les fonds sont ensuite utilisés pour financer le développement des pays du Sud et lutter contre la faim dans le monde. Depuis sa création, c’est 23 millions d’euros qui ont été donnés, ce qui en fait encore aujourd’hui le plus important fonds de partage en France.

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